18 septembre 2009

C’est par le bruit de la pluie que je fus réveillée. On avait dit vrai. Il pleuvait.
J’étais soudainement heureuse d’avoir fait des pieds et des mains pour faire venir mon imperméable de Montréal. La crainte qui m’habitait maintenant était la résistance à l’eau de mon sac à dos.
Je retournai donc au restaurant de la veille me disant qu’il arriverait peut-être à me faire don d’un sac poubelle, pour la bonne pèlerine que je suis !
Après une très bon café au lait, je repartis avec un sac à pain couvrant parfaitement mon sac.
L’avant-midi passant rapidement, c’est surprenant comment le temps passe vite à marcher comme ça.

C’est vers midi que j’arrivai à Pamplona.
Malheureusement, il y avait toujours la pluie, car la ville avait l’air superbe….Ville fortifiée, je fis même mon entrée par le pont-levis !
Malheureusement, mon sac est déjà lourd, car vraiment ça semblait être une super place pour magasiner ! L’espagnol semble déborder de vitrines colorées, on dirait toujours des designers funky !
La pluie me laissa peu envie de m’éterniser dans la ville, mais je m’arrêtai le temps de quelques tapas.
Je retrouvai Daniel, l’ami suédois de la veille au bar-tapas.
Puis nous partagions les 6 kilomètres suivants, qui nous amenèrent hors de la ville. Puis les 6 autres pour se rendre dans une auberge, car il était encore tôt.
J’avoue que les 6 derniers kilomètres étaient longs… et il pleuvait toujours.
Daniel marchait lentement à côté de moi, et sans m’encourager, il m’encourageait.
Nous arrivions dans cette maison transformée en « albergue ». La joie de partager ma chambre avec uniquement 5 personnes ! Avec Daniel, entre autres, et un quatuor espagnol dans la cinquantaine.
Ce fut un souper espagnol. Avec le quatuor, un couple et un marcheur rapide que je croise toujours. Je fais des bouts de traduction pour Daniel et une Américaine. Les Espagnols m’étonnent de leur énergie, le plus vieux des 4 est toujours debout à danser et à demander d’autre vin !
L’internet promis fonctionne mal, cela me laisse amère. Et, je constate pour la première fois que il y a des gens qui ont des gîtes, vraiment juste pour faire de l’argent !
Je suis terriblement courbaturée, je fais exercices d’étirements sur étirements. Muscles ciblés : le devant des cuisses ! Probablement dû aux passages bouetteux qui rendaient mes bottes si difficiles à porter!
Demain encore un 28 km…
Croisons les doigts que les étirements, la crème anti-inflammatoire et la bonne nuit de sommeil feront bien l’affaire !

C’est par le bruit de la pluie que je fus réveillée. On avait dit vrai. Il pleuvait.
J’étais soudainement heureuse d’avoir fait des pieds et des mains pour faire venir mon imperméable de Montréal. La crainte qui m’habitait maintenant était la résistance à l’eau de mon sac à dos.
Je retournai donc au restaurant de la veille me disant qu’il arriverait peut-être à me faire don d’un sac poubelle, pour la bonne pèlerine que je suis !

Après une très bon café au lait, je repartis avec un sac à pain couvrant parfaitement mon sac.
L’avant-midi passant rapidement, c’est surprenant comment le temps passe vite à marcher comme ça.


C’est vers midi que j’arrivai à Pamplona.
Malheureusement, il y avait toujours la pluie, car la ville avait l’air superbe….Ville fortifiée, je fis même mon entrée par le pont-levis !

Malheureusement, mon sac est déjà lourd, car vraiment ça semblait être une super place pour magasiner ! L’espagnol semble déborder de vitrines colorées, on dirait toujours des designers funky !
La pluie me laissa peu envie de m’éterniser dans la ville, mais je m’arrêtai le temps de quelques tapas.
Je retrouvai Daniel, l’ami suédois de la veille au bar-tapas.
Puis nous partagions les 6 kilomètres suivants, qui nous amenèrent hors de la ville. Puis les 6 autres pour se rendre dans une auberge, car il était encore tôt.

J’avoue que les 6 derniers kilomètres étaient longs… et il pleuvait toujours.
Daniel marchait lentement à côté de moi, et sans m’encourager, il m’encourageait.
Nous arrivions dans cette maison transformée en « albergue ». La joie de partager ma chambre avec uniquement 5 personnes ! Avec Daniel, entre autres, et un quatuor espagnol dans la cinquantaine.
Ce fut un souper espagnol. Avec le quatuor, un couple et un marcheur rapide que je croise toujours. Je fais des bouts de traduction pour Daniel et une Américaine. Les Espagnols m’étonnent de leur énergie, le plus vieux des 4 est toujours debout à danser et à demander d’autre vin !
L’internet promis fonctionne mal, cela me laisse amère. Et, je constate pour la première fois que il y a des gens qui ont des gîtes, vraiment juste pour faire de l’argent !
Je suis terriblement courbaturée, je fais exercices d’étirements sur étirements. Muscles ciblés : le devant des cuisses ! Probablement dû aux passages bouetteux qui rendaient mes bottes si difficiles à porter!

Demain encore un 28 km…
Croisons les doigts que les étirements, la crème anti-inflammatoire et la bonne nuit de sommeil feront bien l’affaire !
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